La genèse


UN GRAND VIN
est toujours le fruit
d’un miracle

Miracle d’une géologie
qui rencontre son climat.

Miracle de l’homme qui pressent
qu’il se passe quelque chose ici,
pour y planter le bon cep de vigne.

Miracle, enfin, de l’amateur éclairé
qui 60 ans après la mise en bouteille
puisse encore s’émerveiller de la jeunesse
d’un vin nommé La Chapelle, millésime 1961 …

Pour que naisse une légende,
il faut avant tout un chevalier.

Afin de permettre au miracle de nous être livré, sans doute fallait-il un mystique, Chevalier Henri-Gaspard de Sterimberg, de retour de croisades des Albigeois au XIIIe siècle, pour pressentir le potentiel de cette singulière colline flottant au-dessus de la plaine drômoise comme la Cathédrale de Chartres au-dessus des champs de la Beauce.

Comblé d’honneur et fatigué du combat, il se rend à la cour du roi Louis VIII et, après avoir reçu l’autorisation de Blanche de Castille, s’installe sur la colline de Tain surplombant le Rhône.

Aspirant trouver calme et sérénité, il édifie, sur les hauteurs du coteau, une chapelle à l’emplacement d’un temple romain dédié au légendaire Hercule.

Une vie d’ermite qui
donne son nom à
l’appellation hermitage

II y cultiva la vigne. A force de travail et avec l’aide du terroir, ses vins devinrent de plus en plus réputés auprès des pèlerins et des voyageurs. La syrah trouve en ce lieu son terroir d’expression le plus naturel. Seulement ici, la syrah permet-elle à des vins d’atteindre des longévités auxquelles ne peut prétendre qu’un club très fermé de grands crus ?

DÈS LORS, LA CHAPELLE A TRAVERSÉ LES SIÈCLES.

Pour que naisse une légende,
il faut avant tout un chevalier.

Afin de permettre au miracle de nous être livré, sans doute fallait-il un mystique, Chevalier Henri-Gaspard de Sterimberg, de retour de croisades des Albigeois au XIIIe siècle, pour pressentir le potentiel de cette singulière colline flottant au-dessus de la plaine drômoise comme la Cathédrale de Chartres au-dessus des champs de la Beauce.

Comblé d’honneur et fatigué du combat, il se rend à la cour du roi Louis VIII et, après avoir reçu l’autorisation de Blanche de Castille, s’installe sur la colline de Tain surplombant le Rhône.

Aspirant trouver calme et sérénité, il édifie, sur les hauteurs du coteau, une chapelle à l’emplacement d’un temple romain dédié au légendaire Hercule.

Une vie d’ermite qui
donne son nom à
l’appellation hermitage

II y cultiva la vigne. A force de travail et avec l’aide du terroir, ses vins devinrent de plus en plus réputés auprès des pèlerins et des voyageurs. La syrah trouve en ce lieu son terroir d’expression le plus naturel. Seulement ici, la syrah permet-elle à des vins d’atteindre des longévités auxquelles ne peut prétendre qu’un club très fermé de grands crus ?

DÈS LORS, LA CHAPELLE A TRAVERSÉ LES SIÈCLES.

DEPUIS 1919, SUR CES COTEAUX ESCARPÉS ET CAILLOUTEUX
OÙ SEULE LA MAIN DE L’HOMME PEUT INTERVENIR, LA FAMILLE JABOULET PUIS LA FAMILLE FREY SE SONT SUCCÉDÉ POUR CULTIVER LES VIGNES
DE CETTE CUVÉE DEVENUE MYTHIQUE, LA CHAPELLE HERMITAGE.